FrenchFried Vacation 2: Directed by Patrice Leconte. With Josiane Balasko, Michel Blanc, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier. Eight tourists who met in a holiday camp on the Ivory Coast are reunited for a skiing holiday.
Festivaldu film francophone de GrĂšce (GrĂšce, 2006) SĂ©lection. Longs-mĂ©trages sĂ©lectionnĂ©s. DĂ©lĂ©gations . Festival du Les BronzĂ©s font du ski (1979) Papy fait de la rĂ©sistance (1983) Demi-sĆur (2012) Tranches de vie (1985) La Vengeance d'une blonde (1993) Nuit d'ivresse (1986) Le PĂšre NoĂ«l est une ordure (1982) Les Secrets professionnels du Dr Apfelgluck (1991)
Thierry Lhermitte, Marie-Anne Chazel, Michel Blanc et Christian Clavier dans "Les BronzĂ©s 3" - StudioCanalDans les coulisses des comĂ©dies françaises 5/11 - Cet Ă©tĂ©, BFMTV vous dĂ©voile les secrets de films comiques français hors-normes, cultes ou insolites. Aujourdâhui, Les BronzĂ©s succĂšs de lâannĂ©e 2006, avec entrĂ©es, Les BronzĂ©s 3 - Amis pour la vie, est sans doute lâune des suites les plus dĂ©cevantes de lâhistoire du cinĂ©ma français. JouĂ© par la troupe du Spendid et rĂ©alisĂ© par Patrice Leconte, le film ne mĂ©rite pourtant pas les critiques dont il fait lâobjet depuis quinze ans. Si Michel Blanc n'a jamais cachĂ© son inimitiĂ© pour ce troisiĂšme opus, Christian Clavier lâa toujours ardemment dĂ©fendu, brandissant un argument imparable dans les colonnes de PremiĂšre en 2016 "Quand un film fait plus de 10 millions dâentrĂ©es, vous pensez sincĂšrement quâil nâest pas apprĂ©ciĂ©?"Un argument auquel se range Patrice Leconte "Si Les BronzĂ©s 3 avait Ă©tĂ© vraiment une merde, on nâaurait pas dĂ©passĂ© les dix millions dâentrĂ©es. Et je ne dis pas ça pour me rassurer." Le rĂ©alisateur sâest rendu dans les salles obscures. Il a vu de ses propres yeux des foules de spectateurs et de spectatrices "en train de se gondoler de rire" "Le film faisait vraiment marrer les gens!", assure-t-il. Alternant comĂ©dies populaires et drames historiques, Patrice Leconte a Ă©tĂ© tour Ă tour acclamĂ© et conspuĂ©. Il est habituĂ© Ă cette hystĂ©rie de la presse"Je ne sais pas si les critiques sont utiles pour ce genre de film, s'il faut prendre en compte ce quâils Ă©crivent", expose-t-il avec un sourire. Il poursuit, relatant une de ses anecdotes favorites "Un jour, jâavais rendez-vous dans mon bureau avec un journaliste. Il me dit 'Je ne vais pas vous dire ce que jâai pensĂ© des BronzĂ©s 3, parce que je ne sais pas quoi en penser. Quand jâai vu Les BronzĂ©s, ce nâest que dix ans aprĂšs que je les ai trouvĂ©s formidables. Donc dans dix ans, je vous dirai ce que jâai pensĂ© de celui-lĂ .' J'ai trouvĂ© ça nuuuuul!"Le journaliste ne lâa jamais recontactĂ©, mais nous voici quinze ans aprĂšs, en train de rĂ©habiliter Les BronzĂ©s 3. Patrice Leconte tient Ă mettre les choses au clair. Conçu aprĂšs lâabandon du AstĂ©rix que souhaitait rĂ©aliser GĂ©rard Jugnot avec le Splendid, Amis pour la vie nâest pas du tout un coup de producteur, en lâoccurrence Christian Fechner, connu pour la collaboration avec Claude Zidi. "Au dĂ©part, il y avait vraiment lâopportunitĂ©, la joie, la gaietĂ© et lâenthousiasme de se retrouver Ă nouveau tous ensemble pour faire du cinĂ©ma", insiste Patrice Leconte. "Comme le film ne sâest pas fait, lâopportunitĂ© proposĂ©e par Christian Fechner de faire Les BronzĂ©s 3 est tombĂ©e Ă pic.""Je me suis dit quâils n'avaient pas pensĂ© Ă moi"Lorsque le projet est lancĂ©, Patrice Leconte nâest pas mis dans la confidence. Le cinĂ©aste en dĂ©couvre lâexistence par hasard, en regardant un soir de 2004 Les Enfants de la TĂ©lĂ©. "C'Ă©tait bizarre dâapprendre ça Ă la tĂ©lĂ©vision", raconte, encore un peu vexĂ©, le rĂ©alisateur. "Je me suis dit quâils n'avaient pas pensĂ© Ă moi". Le lendemain matin, un dimanche, Thierry Lhermitte lâappelle "Je ne sais pas si tu es au courant, mais on va faire Les BronzĂ©s 3. Tâes avec nous, jâespĂšre?" Leconte est Ă©videmment des d'un troisiĂšme volet nâest pas neuve. En 1980, dans la foulĂ©e des BronzĂ©s font du ski 1979, la troupe avait dĂ©jĂ rĂ©flĂ©chi Ă un troisiĂšme volet en AmĂ©rique, rappelle Patrice Leconte "Yves Rousset-Rouard, le producteur de lâĂ©poque, avait financĂ© un voyage pour Jugnot, Clavier et Lhermitte pour quâil aille respirer le continent et avoir des idĂ©es, mais ça ne sâĂ©tait pas fait."Chacun sâen Ă©tait allĂ© de son cĂŽtĂ©, avec le succĂšs que lâon connaĂźt. Michel Blanc avec Marche Ă lâombre 6 millions en 1984, GĂ©rard Jugnot avec Une Ă©poque formidable 1,6 millions en 1991, Christian Clavier avec Les Visiteurs 13,7 millions en 1993, Josiane Balasko avec Gazon Maudit 3,9 millions en 1995, et Thierry Lhermitte avec Un Indien dans la ville 7,8 millions en 1994.Yves Rousset-Rouard sâĂ©tant reconverti dans la viticulture et la dĂ©putation, il cĂšde sa place Ă Christian Fechner, dont Christian Clavier est proche. "Je pense que la petite graine a germĂ© Ă partir de lĂ . Tout sâest dĂ©cidĂ© assez vite. Fechner Ă©tait un producteur formidable. Ces gens-lĂ entreprenants et fous nâexistent plus", dĂ©plore Patrice fin originaleAvec le temps, certaines personnalitĂ©s de la troupe se sont affirmĂ©es plus que dâautres. "Le scĂ©nario de Amis pour la vie comme celui des BronzĂ©s font du ski, nâa pas Ă©tĂ© Ă©crit par eux tous, mais par Jugnot, Clavier et Lhermitte", rĂ©vĂšle Leconte. Le trio suit pour ce film la mĂȘme formule que les prĂ©cĂ©dents la bande se retrouve sur un nouveau lieu de villĂ©giature, cette fois-ci en Sardaigne, dans un hĂŽtel dĂ©tenu par la femme de Ă©tant mince, ils dĂ©cident dâajouter Ă celle-ci une autre histoire, celle dâune "bĂȘte" voulant se dĂ©barrasser des BronzĂ©s. Il sera rĂ©vĂ©lĂ© Ă la fin quâil sâagit en rĂ©alitĂ© de "la folle", alias Christiane Weissmuller Dominique Lavanant, qui cherche Ă se venger de JĂ©rĂŽme aprĂšs une opĂ©ration chirurgicale ayant mal Splendid dĂ©cide aussi de multiplier les clins dâĆil aux BronzĂ©s font du ski. Jean-Claude Dusse se retrouve une nouvelle fois bloquĂ© au milieu de nulle part "ça peut ĂȘtre pris pour une facilitĂ©, mais je trouvais que câĂ©tait un bon truc", estime Leconte et la bande se querelle lors de rĂ©vĂ©lations sur la fameuse nuit passĂ©e avec les Italiens dans le chalet du Val dâ cela, ils ajoutent une fin plus originale, oĂč les BronzĂ©s, punis pour leur arrogance, sont confondus avec des migrants et atterrissent dans un camp avant dâĂȘtre renvoyĂ©s vers une destination inconnue. "On trouvait ça culottĂ©, mais je ne sais pas si câĂ©tait tant dĂ©ceptif que ça", sâinterroge Patrice Leconte. "Je trouve la fin parfaite. Câest une fin plutĂŽt originale, Ă laquelle on ne sâattend pas."Cette fin ressemble nĂ©anmoins beaucoup Ă celle de la sitcom Seinfeld 1989-1999, oĂč Jerry, George, Kramer et Elaine sont eux aussi punis pour leur arrogance et leur Ă©goĂŻsme et se retrouvent emprisonnĂ©s aprĂšs avoir refusĂ© dâaider une personne en train de se faire braquer. Toute ressemblance est purement fortuite Patrice Leconte assure nâavoir jamais entendu parler de cette sĂ©rie qui figure pourtant au panthĂ©on de la comĂ©die amĂ©ricaine est rythmĂ© au son dâun tube du chanteur italien Zucchero, Baila Morena, dĂ©gotĂ© par Christian Clavier, et utilisĂ© Ă de multiples reprises dans le film "Tant quâĂ faire! On avait achetĂ© les droits", se justifie Patrice Leconte. "Si on comprend lâitalien, on se rend compte que ça ne parle pas de quelque chose de joyeux, mais au moins ça dĂ©potait!""La limite du film"Au cours de lâĂ©criture, chaque membre de la troupe prend en charge son personnage. "Je sais que câest Marie-Anne qui tenait absolument Ă avoir une poitrine vertigineuse", se souvient Patrice Leconte. "Michel Blanc sâest dit quâil allait rĂ©ussir dans la perruque, et avoir des postiches qui changent. Chacun avait des idĂ©es pour ce qui avait changĂ© dans leur personnage. A mon sens, avec le recul, câest la limite du film. La relative dĂ©ception des spectateurs est liĂ©e au fait que tous les personnages du film ont rĂ©ussi."Et ils sont tous encore plus dĂ©testables que dans les deux premiers films "Ils sont puants de fric. C'est pour ça que le personnage le plus attachant, le plus sympathique, c'est celui de Clavier. Il est vraiment Ă la ramasse, il est sĂ©parĂ© de Gigi, il est rayĂ© de lâordre des mĂ©decins, il est au fond du trou."CinĂ©aste de lâintime qui aime examiner les fĂȘlures humaines, le rĂ©alisateur trouve avec le personnage de JĂ©rĂŽme, complexĂ© par la rĂ©ussite financiĂšre de ses amis, le point dâancrage du film. Il loue lâinterprĂ©tation de Christian Clavier "Il a ceci qui force lâadmiration bien quâau fond du trou, il y croit encore. Il a encore la niaque. Il nâa pas baissĂ© la garde. Christian le joue parfaitement. Il a un sens innĂ© du rythme et de la rĂ©partie."Patrice Leconte loue aussi lâautodĂ©rision de la troupe et en particulier celle de GĂ©rard Jugnot, dont le personnage de Bernard est atteint dâune crise d'homophobie aiguĂ« aprĂšs le coming-out de son fils."C'est assez gonflĂ© de sa part", sâenthousiasme Leconte. "Leur plus grande force, c'est l'autodĂ©rision. Ils arrivent Ă se moquer d'eux-mĂȘmes dâune maniĂšre incroyable. Popeye, câest quand mĂȘme une merde qui fait croire quâil a rĂ©ussi. il nâest pas recommandable. Bernard et Nathalie, ils sont odieux. Odieux, ils le sont tous. Ils sont odieux comme le sont dâanciens soixante-huitards qui se sont embourgeoisĂ©s."Sur le tournage, une Ă©norme pressionFace Ă ces "champions du monde de la vanne", Patrice Leconte fait le modeste "JâĂ©tais lĂ pour ĂȘtre le coordinateur, pour que ça n'aille pas dans tous les sens." Il fait pourtant plus. Contrairement aux deux premiers films, il dĂ©cide dâadopter un format dâimage en scope et de tourner camĂ©ra Ă lâĂ©paule"Le scope est mon format favori. Je nâavais pas eu le courage de sauter le pas sur Les BronzĂ©s 1 et 2 alors que jâen brĂ»lais dâenvie. Quand on a fait Amis pour la vie, je maĂźtrisais davantage lâexercice de la mise en scĂšne. Comme je cadrais, ça me permettait dâinventer une mise en scĂšne assez diffĂ©rente de ce quâil y avait dans les deux autres films." Il ajoute "Il y a des films qui ont des projets de mise en scĂšne prĂ©cis, mais lĂ il nây en avait pas, Ă part lâefficacitĂ© et le rythme. Je devais savoir ce qui Ă©tait drĂŽle et pourquoi câĂ©tait drĂŽle Ă chaque seconde, et je devais mettre ça en valeur pour quâĂ lâarrivĂ©e la drĂŽlerie espĂ©rĂ©e fonctionne. Je nâavais pas dâautre souci. Je ne cherchais pas Ă ĂȘtre joli, ou inventif."Cette efficacitĂ© impose une certaine pression sur le plateau. Les scĂšnes sont trĂšs Ă©crites et la troupe nâimprovise pas. "Si on a lâimpression que câest improvisĂ©, câest mieux", note toutefois Patrice Leconte, qui cherche toujours comment intĂ©grer la burlesque et le rire dans la rĂ©alitĂ©. Si lâalchimie entre Clavier, Lhermitte, Jugnot, Balasko, Chazel et Blanc nâa pas bougĂ© au fil des annĂ©es "Câest inouĂŻ câest comme sâils sâĂ©taient quittĂ©s la veille", cette pression est palpable sur le plateau. "Il nây avait pas autant dâinsouciance ou de lĂ©gĂšretĂ© que sur les deux premiers", confirme Patrice raisons expliquent cette pression. PremiĂšrement, rappelle le cinĂ©aste, le budget Ă©tait "ahurissant". "CâĂ©tait trĂšs cher. Fechner avait beaucoup de qualitĂ©s, dont celle de ne pas mĂ©goter. Tout le monde Ă©tait logĂ© Ă la mĂȘme enseigne. L'Ă©quipe Ă©tait Ă©norme. CâĂ©tait un gros machin, alors que sur lâĂ©cran, câest un film assez normal. Il nây a pas de dĂ©cors intempestifs."DeuxiĂšmement, les attentes autour de ce troisiĂšme film sont dĂ©mesurĂ©ment grandes "On ne pouvait pas faire ce film et obtenir un petit succĂšs. Il fallait que ce soit un succĂšs Ă©norme." Cette pression, contre toute attente, nâatteint pas Patrice Leconte "Je ne la ressentais pas, parce que je nâavais pas lâimpression de jouer aussi gros quâeux. Si ça devait ne pas plaire, je pensais que ça serait plus grave pour eux que pour moi."Les dĂ©buts, surtout, sont difficiles "la machine sâest remise en marche petit Ă petit, mais les premiers jours de tournage ont Ă©tĂ© un peu tendus", confirme le metteur en scĂšne, qui ne garde pas du tournage un bon souvenir pour cette raison "On a Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s de ce poids quand le film est sorti." Et quand ils ont vu lâaccueil triomphal rĂ©servĂ© par le BronzĂ©s 4 par Thomas Langmann?Fort du succĂšs dâAmis pour la vie, le Splendid se pose la question dâun quatriĂšme volet. "Fechner nous disait quâil fallait le faire tout de suite", se souvient Patrice Leconte. Mais une question se pose oĂč situer ce nouveau film? dans un camp de migrants? dans une maison de retraite? LâidĂ©e, une boutade de Patrice Leconte, sera souvent lancĂ©e en interview pour rire par le rĂ©alisateur, pour rĂ©pondre aux questions attendues sur la suite des BronzĂ©s."C'Ă©tait une blague, mais une blague qui ne me dĂ©plaisait pas", prĂ©cise-t-il. "Au fond de moi, cela mâaurait amusĂ© de faire un peu comme dans La Fin du jour de Julien Duvivier oĂč des anciens artistes jouĂ©s par Michel Simon, Louis Jouvet sont rĂ©unis en maison de retraite et sont odieux entre eux! Je voulais le faire en noir et blanc, faire un art et essai!"Blague mise Ă part, un vĂ©ritable quatriĂšme opus des BronzĂ©s a Ă©tĂ© imaginĂ© un temps avec Thomas Langmann. "Il voulait absolument produire un quatriĂšme volet. Il fallait inventer une histoire qui rĂ©unisse le Splendid et ce quâon fait de mieux dans les comiques actuels", se souvient Patrice Leconte. "Jâai acceptĂ©, car je me disais que ça pourrait ĂȘtre assez marrant de faire une confrontation entre lâancienne gĂ©nĂ©ration et la nouvelle."Le rĂ©alisateur accepte, mais dit au producteur de contacter aussi le Splendid "Vous les rĂ©unissez tous devant votre bureau et vous leur dites ce qui vous trotte dans la tĂȘte. S'ils sont dâaccord, on y va." Mais Thomas Langmann insiste il veut dâabord un scĂ©nario. Patrice Leconte se lance dans lâĂ©criture avec son collaborateur habituel, JĂ©rĂŽme Tonnerre. "On Ă©tait payĂ© pour inventer une histoire. Ce nâĂ©tait pas un scĂ©nario complet, ni un synopsis de deux pages, mais un premier traitement sur lequel on pouvait commencer Ă travailler." Ce traitement, qui nâa jamais abouti, tournait autour dâun "projet assez foireux" de JĂ©rĂŽme sur son lit de mort, raconte Patrice Leconte"Il fait semblant dâĂȘtre mourant, il convoque tous ses amis pour lâaccompagner. Il leur dit quâil a fondĂ© un club de vacances et que ses jours sont comptĂ©s. Il y a derriĂšre ça une odieuse entourloupe Ă la mort, Ă©videmment le club de vacances nâexiste mĂȘme pas, câest un tracĂ© au sol." Le projet nâa jamais vu le jour. "Je pense que ce projet nâest jamais passĂ© entre les mains des gens du Splendid", dĂ©plore Leconte. "Je ne voulais pas ĂȘtre le messager Interflora. Il y avait un travail de producteur Ă faire, et qui nâa pas Ă©tĂ© fait."Thomas Langmann a un autre souvenir de cette rencontre avortĂ©e "Ils ont voulu les refaire partir je ne sais pas oĂč! Jâavais un pitch plus intĂ©ressant, un peu surprenant", assure le producteur. "Ils se retrouvaient pour partir en vacances sauf que dans la nuit il se passait tellement de trucs quâils nâarrivaient jamais Ă prendre leur avion le lendemain. CâĂ©tait un BronzĂ©s sans vacances! Je trouvais ça drĂŽle." Mais câĂ©tait trop corrosif pour le Splendid.> A VENIR, SAMEDI 31 JUILLET "Turf", la comĂ©die qui a marquĂ© un tournant dans la carriĂšre de Fabien OntenienteLesBronzĂ©s font du ski, un film de Patrice Leconte de 1979. AprĂšs le Club mĂ©diterranĂ©e, la joyeuse troupe d'amis (plus connu sous le nom Des BronzĂ©s) se retrouvent aux sports d'hiver. Ils vivront encore d'autres problĂšmes sentimentaux, et mĂ©saventures. L'Ă©quip
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